À l’affiche GE, NE, VD / PREMIERE à Fribourg jeudi 2.6, 18h15

À l’affiche GE, NE, VD / Première à Fribourg jeudi 2.6

 

SORTIE DU FILM EN SUISSE (SEANCES)…

Le film est sélectionné au 25ème FESTIVAL INTERNATIONAL DE

SHANGHAI SIFF, section Panorama International.

Nous sommes honorés.

Nous avons un vendeur international : ANTIDOTE SALES

COLPORTAGE INTERDIT, un Essai documentaire

Crowdfunding terminé avec succès (décembre)

Crowdfunding terminé avec succès (décembre)

COLPORTAGE INTERDIT    joignez-vous au crowdfunding Wemakeit  (nov. 2020) !

Cette voiture qui me fait marcher

Mon métier ma passion, Michel, représentant agricole – Hommage plein d’humour aux paysans et au métier qu’il vient de quitter. Un clin d’oeil à mon colportage de cinéma, une branche certainement moins essentielle que la paysannerie !

Collection des films-portes : visitez le BLOG !

Le vent des paroles – Stéphanie, une énergie qui déplace les éléments… Une rencontre automnale au fin fond d’un quartier.

(R)évolutions – Des messages, on en trouve partout aux portes des gens, dans les quartiers, dans les immeubles, les jardins… Sur les murs, c’est plus rare… Chacun a sa révolution à faire et l’horizon à ouvrir. C’est encourageant. Suffisant ? Envie de rapprocher cela des drapeaux de prières tibétains (dans un prochain film)…

lumière et ombre à Isérables –  Certains villages de montagne paraissent comme dans un rêve quand un faisceau lumineux les touche et attire mon attention depuis les jardins et les quartiers arpentés en colportage. À Isérables, j’avais oublié qu’une salle de cinéma avait existé…

Temps, famille… improvisation autour d’un grog – Claudio me fait rentrer, et s’étonnera d’avoir autant de choses à dire devant la caméra…

Cédric : quelque chose à dire

Souvenirs du communisme (et puis… rien n’est jamais dû) – Quand je roule ce jour-là, c’est effectivement vers d’autres horizons : la Pologne de l’enfance d’Alina à laquelle elle se connecte le temps de notre rencontre. Le communisme fut difficile, terrible on le sait, mais une certaine nostalgie de cette époque le montre bien : quand les ressources sont à l’intérieur, la ferveur et la solidarité sont là, compensent la dureté, et sont difficilement remplaçables pour nos ressources extérieures capitalistes actuelles…

Se distraire… ce moment qui ne reviendra plus – Vivre et construire nos instants, plutôt que de regarder passer le monde. Tout nous montre que nous étions en phase dans ce moment de captation, jusqu’à l’incident final…

Notre passé n’est pas une ruine – Les villageois aussi peuvent s’intéresser à un autre cinéma, poétique, sensoriel, celui qui passe dans les petites salles urbaines, les cinémas de recherche. Mais dans les villages, je croise toujours aussi peu de monde… C’est alors que Hervé me prodigue une part de sa science… C’est vrai que nos ancêtres vivaient en couleur -et non en noir-blanc comme nous l’imaginons, alors que même le Moyen-Âge résonne encore en couleurs ! C’est vrai que la vie des villages et des Anciens était extrêmement vivante, le cinéma ils le vivaient et n’en n’avaient pas besoin, c’est vrai que leurs vies et leurs photos étaient spontanées et non pour l’image ou la carte postale.

C’étaient aussi des colporteurs – Le colportage alpin, tel qu’évoqué par Hervé, a eu ses lettres de noblesse. Le commerce itinérant a imprégné certains cols alpins, certains vals et villages, il était haut en couleurs. Mise en perspective avec mon colportage, celui d’emmener du cinéma vers les gens, acte apparemment futile.

Plusieurs années de tournage pour un prochain documentaire de création…

Une maison et le monde – Dans les jardins, sur les seuils de la maison, à chaque fois que nous cherchons des solutions pour le monde, je repense à Voltaire (Cultiver notre jardin) et à Camus (Aider les autres à le cultiver). Et ici à nouveau… Alors qu’arrivent les indices d’une nouvelle nuit dans cette fin de journée, nous évoquons une nouvelle fois les possibilités d’action face au monde.

On était heureux – Il y a ce qu’ils disent, mais surtout aussi comment ils le disent, comment ils s’adaptent à la première expérience d’être filmé, par un quasi inconnu qui vient de franchir la porte. Daniel est de ceux qui m’offrent une belle palette d’expressions, et c’est ça qui me reste quand, l’obscurité venue, je continue à frapper aux portes dans le quartier.

Ne pas forcer les portes : Nathalie

père au foyer

Son mari ne reviendra plus –  Cette semaine, une dame me déclare que son mari va mourir à l’hôpital, et que bien sûr elle n’a pas la tête à regarder des films. À partir de ce moment, mon regard sur les lieux visités en porte-à-porte s’arrête différemment sur le vide et le déserté… Ballade à travers lieux et objets solitaires.

Auto-stop et colportage – Il est jeune, il possède encore son enfance, il aime l’idée du porte-à-porte, c’est naturel pour lui. Il veut aussi que le cinéma lui fasse passer le temps. Parmi les abricotiers en fleurs.

Société du spectacle – Je n’avais pas encore lu Guy Debord.

– sans titre –  colportage et sentiment d’impuissance face à l’actualité, se réapproprier l’esprit de la fête spontanée pour retrouver nos facultés de faire et de changer…

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